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chaque être possède dix mille mètres de ciel bleu sur sa tête. antoine de saint-exupéry recherche: catégories - altermondialisme ! - bella ciao ! - cinema ! - environnement ! - féminisme ! - idées ! - kaamelott ! - le monde de jeanne !!!! - littérature ! - mes textes de chansons ! - musique ! - politique ! - sans commentaires… ! - vivaldi ! archives juin 2012 septembre 2011 mars 2011 août 2010 mai 2010 avril 2010 mars 2010 février 2010 janvier 2010 décembre 2009 novembre 2009 octobre 2009 septembre 2009 août 2009 juillet 2009 juin 2009 mai 2009 avril 2009 mars 2009 liens - altermondialistes et écolos - copenhague 2009 - fondazione fabrizio de andré - il gruppo musicale bandabardo - l’association attac-france - l’association encore feministes ! - l’hebdomadaire politis - l’hebdomadaire telerama - l’organisation greenpeace france - la revue cassandre - la revue le passant ordinaire - le blog france-métissage - le groupe musical la chanson du dimanche - le groupe musical les dobacarasol - siné hebdo l’émission de france3 -ce soir ou jamais- méta inscription connexion petite entreprise familiale 23 juin, 2012, 20:35 classé dans : non classé le grand père, la fille, la nièce, le jour où cette famille présentera son poisson rouge à un suffrage ses électeurs voteront pour lui… 0 commentaires -- indignez-vous 14 septembre, 2011, 15:49 classé dans : - politique ! http://www.youtube.com/watch?v=cjuoqdhecf0 0 commentaires -- 12 mars, 2011, 16:11 classé dans : - politique ! vive la tunisie http://www.youtube.com/watch?v=rbkxi2x0hbo 0 commentaires -- 12 mars, 2011, 15:35 classé dans : - musique ! biolay – ton heritage http://www.youtube.com/watch?v=xhpmfj07trc si tu aimes les soirs de pluie mon enfant, mon enfant les ruelles de l’italie et les pas des passants l’éternelle litanie des feuilles mortes dans le vent qui poussent un dernier cri crie, mon enfant si tu aimes les éclaircies mon enfant, mon enfant prendre un bain de minuit dans le grand océan si tu aimes la mauvaise vie ton reflet dans l’étang si tu veux tes amis près de toi, tout le temps si tu pries quand la nuit tombe mon enfant, mon enfant si tu ne fleuris pas les tombes mais chéris les absents si tu as peur de la bombe et du ciel trop grand si tu parles à ton ombre de temps en temps si tu aimes la marée basse mon enfant, mon enfant le soleil sur la terrasse et la lune sous le vent si l’on perd souvent ta trace dès qu’arrive le printemps si la vie te dépasse passe, mon enfant {refrain:} ça n’est pas ta faute c’est ton héritage et ce sera pire encore quand tu auras mon âge ça n’est pas ta faute c’est ta chair, ton sang il va falloir faire avec ou, plutôt sans si tu oublies les prénoms les adresses et les âges mais presque jamais le son d’une voix, un visage si tu aimes ce qui est bon si tu vois des mirages si tu préfères paris quand vient l’orage si tu aimes les goûts amers et les hivers tout blancs si tu aimes les derniers verres et les mystères troublants si tu aimes sentir la terre et jaillir le volcan si tu as peur du vide vide, mon enfant {au refrain} si tu aimes partir avant mon enfant, mon enfant avant que l’autre s’éveille avant qu’il te laisse en plan si tu as peur du sommeil et que passe le temps si tu aimes l’automne vermeil merveille, rouge sang si tu as peur de la foule mais supportes les gens si tes idéaux s’écroulent le soir de tes vingt ans et si tout se déroule jamais comme dans tes plans si tu n’es qu’une pierre qui roule roule, mon enfant {au refrain} plus paroles: http://www.parolesmania.com/paroles_benjamin_biolay_15661/paroles_ton_heritage_958674.html tout sur benjamin biolay: http://www.musictory.fr/musique/benjamin+biolay 0 commentaires -- l’un part, l’autre reste 14 août, 2010, 9:27 classé dans : - musique ! http://www.dailymotion.com/video/xdbepy_charlotte-gainsbourg-lun-part-lautr_music ont-ils oublié leurs promesses ? au moindre rire, au moindre geste, les grands amours n’ont plus d’adresse quand l’un s’en va et l’autre reste… n’est-il d’échecs que de jeunesse ? n’est-il passé que rien ne laisse ? les grands amours sont en détresse lorsque l’un part et l’autre reste reste chez toi vieillis sans moi ne m’appelle plus efface-moi déchire mes lettres et reste là demain, peut-être tu reviendras… geste d’amour et de tendresse tels deux oiseaux en mal d’ivresse les grands amours n’ont plus d’adresse quand l’un s’en va et l’autre reste sont-ils chagrins dès qu’ils vous blessent ? au lendemain de maladresses les grands amours sont en détresse lorsque l’un part et l’autre reste de triste adieu que d’illusions si c’est un jeu ce sera non rends-moi mes lettres et reste là demain peut-être tu comprendras… ils n’oublieront pas leurs promesses ils s’écriront aux mêmes adresses les grands amours se reconnaissent lorsque l’un part et l’autre reste nathalie rheims 0 commentaires -- l’aquoiboniste 12 mai, 2010, 14:39 classé dans : - sans commentaires... ! l’aquoiboniste (gainsbourg, birkin) http://www.youtube.com/watch?v=4yo9y0wruqc c’est un aquoiboniste un faiseur de plaisantristes qui dit toujours à quoi bon a quoi bon un aquoiboniste un modeste guitariste qui n’est jamais dans le ton a quoi bon un aquoiboniste un modeste guitariste qui n’est jamais dans le ton a quoi bon un aquoiboniste un peu trop idéaliste qui répèt’ sur tous les tons a quoi bon un aquoiboniste un drôl’ de je m’enfoutiste qui dit à tort à raison a quoi bon un aquoiboniste qui s’fout de tout et persiste a dire j’veux bien mais au fond a quoi bon un aquoiboniste qu’a pas besoin d’oculiste pour voir la merde du monde a quoi bon un aquoiboniste qui me dit le regard triste toi je t’aime, les autres ce sont tous des cons 0 commentaires -- 10 mai, 2010, 20:47 classé dans : - environnement ! , - littérature ! , - sans commentaires... ! telerama un écrivain témoigne marée noire aux etats-unis james lee burke : “les marais de louisiane vont absorber le pétrole comme une éponge” le fil livres – après l’explosion, le 20 avril, d’une plate-forme pétrolière au large de la louisiane, les etats-unis sont confrontés à l’une des pires marées noires de leur histoire. nous avons demandé à l’auteur de polars james lee burke, 73 ans, de nous parler de ce bout d’amérique sur lequel il a si souvent écrit. checkaffichagepictoybuzz_2(‘une’,’55682′); a 73 ans, james lee burke est souvent considéré comme le faulkner ou le steinbeck du roman policier. ses histoires se déroulent en louisiane, le pays où il vit depuis toujours, même s’il passe désormais une partie de son temps dans le montana. son détective, le mythique dave robicheaux, a été incarné l’an dernier par tommy lee jones dans le film que bertrand tavernier a tiré de l’un de ses livres, dans la brume électrique . début mai, les éditions rivages publient un recueil de nouvelles, jésus prend la mer, dont plusieurs ont été écrites après le passage de l’ouragan katrina, en 2005, et relatent ces heures d’angoisse, de mort et de chaos dans un etat où l’aide fédérale a considérablement tardé à arriver. l’une des enquêtes de dave robicheaux, la descente de pégase, est également traduite et publiée ces jours-ci. joint par téléphone après la marée noire provoquée par l’explosion de la plate-forme bp dans le golfe du mexique, le 20 avril dernier, james lee burke nous a confié sa tristesse, son amour pour la louisiane et sa colère devant les catastrophes dont elle est régulièrement victime (1). télérama : comment avez-vous vu la louisiane se transformer au cours de votre vie ? james lee burke : ma famille s’est installée dans la petite ville de new iberia en 1836. j’ai toujours vécu sur cette terre, j’y ai été reporter, garde forestier et même prospecteur sur une barge pétrolière dans les années 50. la main de dieu a créé cet endroit merveilleux, et celle de l’homme n’a cessé de l’abîmer, par cupidité. c’est une terre de sacrifices, un pays magnifique au cœur d’un environnement terrible, dont la destruction est en cours depuis des dizaines d’années. l’industrialisation a érodé la côte, les compagnies